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lundi 20 octobre 2008

« Humez l’odeur des fleurs pendant qu’il est encore temps »

« Humez l’odeur des fleurs pendant qu’il est encore temps » (an other Queer Heroïne) My Brain Is Driving Me Crazy EVERY POSITION OF DESIRE, NO MATTER HOW SMALL, IS CAPABLE OF PUTTING TO QUESTION THE ESTABLISHED ORDER OF A SOCIETY ; NOT THAT DESIRE IS ASOCIAL ; ON THE CONTRARY, BUT IT IS EXPLOSIVE ; THERE IS NO DESIRING-MACHINE CAPABLE OF BEING ASSEMBLED WITHOUT DEMOLISHING ENTIRE SOCIAL SECTIONS_____ …….kathy acker D’abord l’écriture Les rounds, compter les points En fait non, d’abord la lecture, côtoyer au mot imprimé pour le délivré temps, puis le mot sa traverse, léger tremblement du corps langue se meut, un mouvement de l’écriture vers la gorge, tout un être au monde transporté là, interprété, fragmenté en flashs scénographiques, shunts luminescents, prolongements en corps éclats actes dans un espace à donner, une machine Les multiples écrivains, performeurs, vidéastes qui ont évolué dans l’East Village new-yorkais des années 80-90 quartier cosmopolite de la scène punk et artistique underground, où squatters, travestis, prostitués, junkies et artistes fauchés se côtoyaient. /// je me souviens de la rue, traîner dans la rue d'une petite ville… Désir & fonction politique On the road Défilement / scroll (la route est donnée) Intime / dehors le texte n’explique jamais la photographie il permet par contre de rendre public ce qui relève du privé et fait de la prolifération des clichés et de leur agencement une machine à produire des alternatives au discours officiel : "Rendre public le privé est une action qui de terribles répercussions dans le monde pré-inventé." Sida (art & société) L'apparition du Sida à New York, au cours des années 80 provoque une fracture sociale sans précédent. A l'étendue de la tragédie épidémiologique - 41 598 cas répertoriés en 1992 - s'ajoutera la gestion catastrophique de cette maladie par les pouvoirs publics et les médias. Face à la stigmatisation et la discrimination des populations les plus touchées, face à l'abandon des malades et la censure à grande échelle de toute information préventive, des stratégies de résistance se mettent en place à différents niveaux de la société civile. « la littérature du désastre » écriture saccadée et immédiate, frénésie, offensive rencontres sexuelles furtives et anonymes, sa révolte politique contre la société américaine, son homophobie et son ultra-conservatisme face à l’épidémie du sida, notamment. photomontage en passant par le collage et le reportage. Corps l’intempestif, encore le désir (il faut une libido pour écrire, au sens large. /// … dans l’expérience limite on n’écrit pas. Au fin fond du sordide comme au sommet de la sainteté, l’individu rompt avec toute forme de création.) La liste des objets confisqués à la frontière canadienne suite à la « Loi Butler » … : Memories that smell like gasoline de DW, est-ce à dire… Textes de ? sur mon rapport à la scène ? Au-delà de l’inclusion de la chair, je n’ai pas su avoir de cause, de communauté, l’inclusion au politique en une donne petite-vie- (peutêtre le viol en un point, peutêtre la guerre en un autour) / des faits / la brûlure d’une rupture (une accointance avec l’art de la performance en un glissé sémantique sans cesse / de la phobie sémantique, ces personnes incapables de recevoir logos, attributs de marques, étiquettes, tiroirs) Qu’est-ce qu’il résonne d’un en soi, faut-il s’y référer ? faut-il remuer une terre, mettre à nouveau en branle une adolescente dans les rues d’une petite ville, pouce tendu sur les routes pour un morceau de musique, les copulations littéraires, l’annonce de la mort de klaus nomi ? est-ce que je suis homme lorsque je pense aux pendus bandants de burroughs ? lorsque je vibre aux attouchements de deux détenus allongés au sol dans le noir d’une cellule (miracle de la rose d’après genêt –un court-métrage), la description d’un nain fouillant l’anus d’un jeune garçon à la recherche de diamants (dennis cooper), une truite accrochée à l’intestin comme point final d’une orgie (teleny -oscar wilde) ? Est-ce à dire, le désir a t’il un genre ? et le non-désir ? où se frotte la peau, la membrane, quel entre-ensemble, quel déplacement s’opère dans les structures sociales, relationnelles ? Pourquoi un écrivain gay (pourquoi un écrivain hétérosexuel ?) pourquoi un écrivain gay monté par une metteur en scène hétérosexuelle ? pourquoi se pose t’on la question ? Ou/où supporter ce qui du désir s’inscrit déjà dans l’inscrit, supporter du désir qu’il ne détourne pas ? ne pas supporter ? La forme et la puissance du désir m’intéressent en ce qu’elles donnent de possibles autres, réels et impossibles (désir et rage en tant que pulsions entretenues afin de conserver un espace-temps de liberté, de refus d’un donné –à différencier d’un donner la route au visiteur dans certains pays d’afrique lui signifiant le fait qu’il est libre de quitter les lieux –et s’égarer) Le flou, le tremblé, le raté, l’anecdotique, jouir d’une fourchette plantée légèrement à reprises à l’intérieur des cuisses, le tout sur un radeau voguant vers new york Un déplacement fictif ? Et la colère Je suis une mouche cognant la vitre, je suis une gargouille campée au haut d’un muret de cimetière, je suis, pour dire est-ce que les poèmes hermétiques alchimistes ont à voir avec le fantasme de l’art total avec le décuplement des supports de certains artistes avec Du fric, toujours du fric créer est (s’)engager Cause : ? défendre cellesceux qui l’art portent, vivre avec, les porter à la scène, lire… simplement, au fond, celle qui décide de s’asseoir à la fenêtre Lors je vois ma famille, celle qu’on se fait / la rage, l’écrire- parler-rage, souffrances & plaisirs d’un en ce monde, le débord, de la vie, d’une langue,, une fascination de/ ce qui est dit classé marge, l’autrement, murs Cette nuit le mot « marginalité » est censuré/remplacé par « derrière » Qu’ai je à dire, transmettre ? quoi encore du corps & du politique, du désir et du social Mise en scène /pacte > retour à > dont la faille est déviée Qui peut se jouer du déplacement du performatif, du donner à voir puisque l’écriture de la scène s’inscrit dans l’hétérogène, s’accomplit dans un jeu de distances & d’élans amoureux A la condition du faire à nouveau- ainsi la lecture s’inscrit (devient une écriture) à la fois dans l’instant et un à venir, est portée par un public ici pris comme auteur potentiel d’un devenir histoire Consommons Le pain est rompu et ficelé Intentions générales rage en temps réel presque OK, david W, david woj,___________ j’éructe la foule de moi, la foule, de moi en terre pénis fourgué versé cul, cou de poulet étiré d’entre les fesses, par blocs, cru, couturé, le pain est scindé rompu, il est impossible de le mâcher, ne le mâche, couture, l’aiguille encore, la virgule oblitère, la scène fendue, la trahison fondue en la promesse d’une foule de moi convulsée vortex, nous expulsons, tout de la scène aire enfumée, blanche, au haut rouge une ligne, le sang fonce une ligne luminescente, dessine lent l’écrit, écrit coule coulant mon bras traverse l’animal, je marche, mon corps coulisse au mur, importe le corps celui rencontré là par glissement, vrombissement grave des moteurs plus travelling au ralenti, combinaison, fenêtre, je marche, il dit : « let’s drive » ma fenêtre ton film, ton film de cul, let’s record, let’s record the show, va, j’enfile, bouche rompue, à quel moment, précisément, tu plonges à OK j’enfile une paire de jeans un tshirt blanc un blouson de cuir, une paire de bouquins j’enfile, revenir à défiler, scroll my mind / chapitre – que tu crois – OK je me fais mettre OK – le son de mon cul râpe le mur – ahans – halètements – reproduire ce qui est let’s record – brume blanche l’autre, le mort, le vivant, le discours, parle à, « cul tendu »* puis au sol, en perspective route l’écriture, le tracé l’envie de pisser let’s record / * ... trombes brèves séquences au ralenti bribes d'éjaculats orgasmes touchers particuliers crépuscules aurores bruts culs tendus ou sous influences alors qu'il vaudrait d'écrire de ceux crépuscules et aurores la teinte sur la peau les souffles ... frais tape ,,, un peu d'une autre vie, l'éloignement cisèle, fleurs de carotte des mots à mon amourette phoenix cul tendu un dieu un ange calme et soubresauts préparations douces dansément denses fluides ça tisse captures d ... en bord ou ou à cheval marche lente manque les râles cuisse à cuisse culs arqués torsades désirs sinusoïdes aspire torse nu tshirt sur lépaule pantalon au sol lui tendu mon dieu je me marie en blanc en moi donné à dante est facile en soussol ... point d'interrogation est une intonation aiguë serre moi le cul un truc entre deux chiens / et ça sort après tout ça / partout ... curiosité elle en laisse son chien crève les yeux passe dévie tendue stop dévie à l'embouchure stop en tailleur cerise la fin de … -treize ans laisse lui ses machines programmes serveurs me souhaite matin lors suspension de l'activité (reverse) j'ai lui me réveille en rire donne contraction abdominale vaginale jet de sang entre cuisses changement de tampax combiné entre oreille ... trajectoire de son projectile est tendue. L'énergie produite par le ... adoption du chargement par la culasse pour ce type d'arme, et donc ... une plume d'alouette dans le cul et blague numéro 3 : il y a ... toutes ces queues molles ou tendues depuis les trous oui je ... permet pas d'engager car la trajectoire de son projectile est tendue. L'énergie produite par le recul est directement absorbée ... parfois rendu nécessaire, l'adoption du chargement par la culasse pour ce type d'arme, et donc l'emploi d'un mécanisme de percussion ... sur un air imitation pétasse ou alors tu colles une enfilée de ronds jaunes avec des clins d'oeils et des sourires langues tendues bave à la con) peau ultra douce elle : aurait aimé qu'il pose sa main là soutien sexe Il serait un peu idiot, le jour des ... ronds jaunes avec des clins d'oeils et des sourires langues tendues bave à la con) peau ultra douce elle : aurait aimé qu'il pose ... bave larve de la tête cognée lui foutre un quintal plume au cul,, la question du saisir,, une barre chocolatée,, toujours ... animatrice de listes l'état de E geisha worry sorry scary necessary very ouvre le temps viens un doigt tendu (majeur évidemment) allez montre no_s culs combien pour quoi montre dos tant oui là ce qu'ils me prennent à dos ce qui me touche là oops ... forêt c'est loup y es tu et moi! jai aimé avoir peur avec toi aussi parce qu'après tu mas fait écouter les arbres voir le cul dune biche ôté la tique allongé à terre touché mon pipi enculé à la verticale plantes en terre sablon et aimé retrouvé ... bptiang soyez souverian qu'ils disaient ouais mon cul ouia s le cul de grandmèr en parachute ouia s enfi n c'"est pas tout ça ... quel état quatorze heures de route genre fièvre des muscles tendus dans une heure et demi je mallonge jattends plus que ça enfin ... traces de regarder aimer lui se branle éjacule face bonjour je m'appelle michael je viens d'avoir dixhuit ans ma queue là tendue en froc touche la mer _ Téléchargez cette version ... la raie de la culotte pile muqueuses hésite pisser calme achoppe là à torse là ... à l'instigation du camp cap d'agde vous le saviez ? à poil tendu pénombre gris iris orage en mer éclair fébrile compact disc ... de (l’)la (non-in)appartenance
DAVID WOJNAROWICZ s’est imposé comme l’un des artistes américains incontournables des années 80. Il naît dans le New Jersey en 1954. Enfant battu et maltraité, il s’enfuit à New York, découvre son homosexualité, vit dans la rue, subsiste grâce à la prostitution occasionnelle. Il traverse les États-Unis en auto-stop. Pendant les années 80, il devient un artiste reconnu (photographe, vidéaste, peintre, sculpteur et écrivain). Il appartient au mouvement artistique de l’East Village et évolue dans le milieu alternatif new-yorkais (Nan Goldin, Richard Kern, Lydia Lunch, Kathy Acker...) Homosexuel militant, farouchement critique de la société américaine, il meurt du sida en 1992. C’est parce que l’œuvre créatrice de David Wojnarowicz procède de toute sa vie qu’elle a acquis une pareille puissance. Alors que tout semble dit et redit, quelque chose émerge du chaos de David Wojnarowicz qui nous place devant notre responsabilité d’être pour quelque chose dans le cours du mouvement du monde. Félix Guattari DAVID WOJNAROWICZ Bibliographie En français Au bord du gouffre, [Close to the Knives], Désordres Le Serpent à Plumes, 2004 Traduit de l’anglais (États-Unis) par Laurence Viallet Bibliographie originale In The Shadow of the American Dream: The Diaries of David Wojnarowicz. Amy Scholder éd., New York, Grove Press, 1999. The Waterfront Journals. Amy Scholde, éd., New York, Grove, 1996. 7 Miles a Second. (illustrations de James Romberger), DC Comis, New York, 1996. Memories That Smell Like Gasoline. San Francisco, Artspace Books 1992. Close to the Knives: A Memoir of Disintegration. New York, Vintage Books, 1991. Livres d'art Rimbaud in New York. New York, DAP, 2004. Fever: The Art of David Wojnarowicz. Amy Scholder éd., New York, New Museum of Contemporary ArtRizzoli Book, 1999. Brush Fires in the Social Landscape. New York, Aperture, 1994. Tongues of Flame. Normal, D.A.P.Illinois State University, 1992. Sound in The Distance. London, Aloes Books, 1982. Expositions personnelles - David Wojnarowicz : Rimbaud In New York, 2004. - Close-up sur David Wojnarowccz, galerie EOF, Paris, 2004 - Fever: The Art of David Wojnarowicz, Rétrospective au New Museum, New York, 1999. - David Wojnarowicz, My Brain is Driving Me Crazy, American Center, Paris,1996. - Hal Bromm Gallery, New York, 1994-1995. - In the Garden, Intermedia Arts, Minneapolis,1991. - David Wojnarowicz, Tongues of Flame, University Galleries, Illinois State University, Normal, 1990. - Dorothy Goldeen Gallery, Santa Monica, 1990. - PPOW, New York, 1990. - PPOW, New York,1989. - Ground Zero Gallery, New York, 1987. - Gracie Mansion Gallery, New York, 1987. - Galeria Buades, Madrid, 1987. - Gracie Mansion Gallery, New York, 1986. - Anna Friebe Galerie, Cologne, 1986. - Fondation Cartier, Paris, 1986. - Messages to the Public, Times Square Spectacolor Board, New York, 1985. - C.A.U.C. Buenos Aires, 1984. - Civilian Warfare, New York, 1984. - Anna Friebe Galerie, Cologne, 1984. - Gracie Mansion Gallery, New York, 1984. - Hal Bromm Gallery, New York; 1983 - Civilian Warfare, New York, 1983. - Milliken Gallery, New York, 1982.
- Au bord du gouffre Traduit de l’anglais (États-Unis) par Laurence Viallet « domaine étranger » dirigé par Jean-Claude Zylberstein, 10-18, septembre 2005 Au bord du gouffre est un livre de référence de la littérature gay et la contre-culture nord-américaine, un grand livre sur le sida, mais c’est avant tout un texte littéraire éblouissant, un cri poussé par un écrivain virtuose, romantique, un écorché vif violenté par la vie qui raconte son existence et son époque. Nous sommes dans le New York bohème des années 80 et sa faune interlope (squatters, prostitués, junkies, travestis…), le New York de Lou Reed et d’Hubert Selby Jr. Mêlant différents matériaux textuels, Wojnarowicz parle de son horreur de l’aliénation, sa quête permanente de liberté, ses rencontres sexuelles furtives et anonymes. La mort s’insinue peu à peu dans le texte, l’auteur affrontant la disparition de ses amis et sa destruction annoncée. Wojnarowicz se révolte contre la société américaine, son homophobie et ses conservatismes avec une rage désespérée. Vingt ans plus tard, nous revisitons les premières années de l’épidémie avec effroi et émotion. Au bord du gouffre présente le témoignage d’un idéaliste, un révolté, un poète visionnaire. Comme les livres de Genet ou Burroughs, Au bord du gouffre est un texte d’une écriture magnifique qui fait déjà partie de notre patrimoine littéraire. Au bord du gouffre est l’un des livres les plus extraordinaires de ces dernières années, voire plus. De par son style férocement poétique, la vie grandiose et dévastatrice qu’il décrit, son intelligence farouche, Au bord du gouffre est un livre essentiel. Dennis Cooper --- en pièce jointe : revue de presse avec des textes de Felix Guattari, Michael Kimmelman (New York Times), Patrick Thévenin (Têtu), Elizabeth Lebovici (Libération), Entretien avec Dan Cameron (Chronic'art ), Laurent Goumarre (Art Press), Bruno Juffin (Les Inrockuptibles), Benoît Broyart (Le Matricule des Anges), Entretien avec Nan Goldin mardi 20 mai 2008 11:11 son écriture en blocs disparates mêlant soit des souvenirs, fantasmes, rêves, désirs, interviews de ses proches, embardées sur les routes américaines, enfance et le reste violents, hécatombe sous sida, pamphlets... l'acte sexuel comme geste politique, ses performances impliquant le corps, les collages inserts textes-images et la résurgence de lectures (avec "contrepoint" d'aldous huxley à l'âge de quinze seize ans, "les cités de la nuit écarlate" de w. burroughs reste un roman fondateur), ses connections proches de ma constitution (lydia lunch, kathy acker, richard kern...), l'apparition du sida au collège le choc de la mort de klaus nomi et puis cinq ans plus tard un ami parti en quelques mois, ,,, je pense à une adaptation en blocs de ses textes (certains se prennent directement à l'oralité, d'autres à la lecture, ou à une écoute distanciée),,, , scroll / window (à compléter) marcher, le défilé de, lucarne, le champ, défilé, scroll, sur la route, bande, le texte défile le long de, vladimir maïakovski marche et écrit en tête ses poèmes, antoine boute gicle griffonne, ariane bart touches baise, acker en état orgasmique, fenêtre, fenêtre écran, cadres je vois, défilé, bande (je ne sais pas si je cite guyotat –vivre) >texte Traduction laurence viallet, droits accordés Adaptation (blocs Approche (rythme pages cornées : 11 34 63 83 85 95 137 183 203 206 231 238 245 273 288 299 309 material blog photos / vidéos / textes / avancées réflexions http://auborddugouffre.blogspot.com/ mise en scène Blocs & liens Blocs d’être au monde, blocs de genres, supports, étiquettes DW écrivain, performer, peintre, sculpteur, réalisateur, photographe, gay, new yorkais, activiste, mort du sida, ami de,,, & liens ce qui coud ses lèvres, le pain rompu, fil rouge (broder ?) hue je voudrais m’attacher à poser des blocs, le brut de la chose, & y pénétrer ce fil rouge, de la respiration capturée influant la projection de textes aux murs plafond sol, textes à voir lire, répons & ailleurs, je voudrais à m’attacher le vivant, ébats corporels & espace, un dos contre une surface, râpe, je voudrais la caresse étendue, en prolongement sonore d’ahans prélevés, soulevés dans des espaces urbains de rencontres sexuelles, des phares et des moteurs, voix enregistrées de cellesceux l’ayant croisé, en fond, éthérées, prélèvements sonores mixés remixés, étirés, je voudrais confronter percer ce lien ténu entre la prédisposition à faire œuvre et le cru, à relever & vivre là un instant dense de son apposition à la chair, je voudrais disjoncter et joindre, une parole éructée érythème, amener la rue dans l’anatomie fantôme, l’arène, bestiau en cul de sac, indissocier dans l’objet scène ce qui relève de la rue du fantasme, clou, de la représentation Situation Normal = All Fucked Up Marcher puis lire Acheter des poulets, des cuisses Un jean, un tshirt blanc, un Blouson de cuir, un Bouquin Traîner La scène en un performatif distribué à épaulé par deux acteurs, personnes portant le texte, entre identifications & distances, qu’il soit dit, lu ou projeté ; corps reliés par capteurs à l’écrit et au son, augmentés ; je voudrais pour wojnarowicz explorer un non-média, un intangible ; explorer le brut en tant que parasite, résurgence Sur-vocation (au sujet de cet adolescent piercé gueule défoncée, brisé fier…) Le texte, le corps, l’espace ; il va sans dire (le juste de l’expression) que j’entends soulever l’écriture de wojnarowicz par l’absence et la présence des corps dans l’espace ; vêtements, nudité et revêtements ; tenues de ville, simples, usuelles, sorties de l’armoire des comédiens ; gestes issus des codes magnifiés ou fantasmés glanés dans les espaces de rencontres sexuelles ; gestes issus de la langue, de la simple lecture, vocifération ; actes performatifs déclinés ; minimal & brut ; Alors spéculons aujourd'hui à propos du travail artistique de Lucille Calmel. Quoi !? T'as dit travail or elle travaille pas. En plus t'as dit artistique mais c'est pas de l'art ça, c'est de la vie. Oui en fait disons déjà ça : Lucille Calmel ne travaille pas virgule et elle est vivante, c'est ça son bizness, fondamentalement. Ça nous avance déjà d'un pas dans notre spéculation n'est-ce pas, puisque, qu'est-ce à dire, qu'est-ce à dire cette absence de travail et ce bizness d'être en vie ? Hé bien moi je dis : c'est le bizness de la fête, l'envers du travail ou alors le travail mais version hyper-ergonomique à la vie, c'est la fête. Voilà voilà. Voilà qui est dit. Avec Lucille Calmel, c'est la fête, ce qu'elle fait, c'est ouvrir l'espace à la fête. Mais le tout est de savoir quelle fête, évidemment, c'est ça tout le problème comme on s'en doutera facilement. Bon. Disons, pour essayer : la fête de l'espace, l'ouverture de l'espace à la fête, c'est comme une explosion des structures de sens de l'espace. Non ? Oui, peut-être. Effectivement, peut-être. C'est pas sûr. Avec Lucille Calmel, c'est pas sûr, on est pas dans le sûr, et c'est ça la fête : le détournement des structures de sens, pour en faire de la fête. Pas de travail avec Lucille Calmel : pas de travail du sens, pas de sens du travail. Pas d'œuvre, pas de plan qui s'applique, mais le contraire : la vie du vivant qui fait fête en corps et sang et espace, espacements de lieux. Ce qui se passe dans la vie avec Lucille Calmel c'est que la présence de son corps ouvre le lieu où il est à la fête. Et je dirais volontiers que le sang n'est pas pour rien dans l'histoire, il n'est pas pour rien dans l'histoire puisque ce qui se passe dans la vie de Lucille Calmel c'est que celle-ci, sa vie, la fête dans le sang de sa vie, passe par la prothèse technique de son ordinateur et d'internet. Avec Lucille Calmel sur internet, ce qui passe c'est le sang ; l'interne se pulse à l'externe et va se promener en réseau, tout autour des réseaux, des interconnexions etc. Alors voilà : c'est ce don-là du sang qui va loin oui peut-être, peut-être que c'est ça qui va loin avec Lucille Calmel dans la vie : don de sang disons, don de sang dans la fête, don de la fête, don de la vie explosée à l'externe. Paf ! Antoine Boute scénographie Liens Projections interactives textes, photos, sons Superposer l’écrit (chute de buffles ravin roc) masse, Superposer l’écrit-chute-de-buffles-ravin-roc-masse, mains bandées, pièces de monnaie, coudre des lettres fendues + rhodoïds et autres transparents imprimés et éclairés - fumigènes, ?blanc, toute la scène-salle, ?blanche, ne pas voir à + d’un mètre / vidéoprojecteur à télécommande et/ou de poche + un fixe / lui nu à jardin avec dix mini laser rouge entre les fesses voire colonne vertébrale > mouvement + déplacement / ce trait audessus, rouge, sombre, se métamorphosant en écrit, coule verbalise vertical depuis le haut donc / (chute-lâcher de balles roses / dans depuis la bouche) / une balle rebondit contre (cf « à côté de la plaque », un roman de marc behm) / texte en défilé automatique depuis la souris sans fil / lecture / poulet brassard, un fistfucking / un autre lui coudre le cul / lui tremper ou le farcir d’?encre noire de ?seiche, ?chine et boxer ?au sol / quel monologue ? (cf pages cornées) / gyrophares / phares / « let’s » record » the show » écrit au sol en rouge en perspective décentrée / route / tout le sol sur nappes blanches (les retourner ?) / dérouler une nappe tenue verticale à cour avec écrit / fil rouge / laine, liens en rouge avec aiguilles, quelles parties objets éléments scénographiques ? / ne pas se laver pendant une semaine / amenées d’objets-écrans miroirs dans la fumée pour projections réflexions / ventilateur, trouée d’air frais, translucide pour des extraits de scènes brutes, crues, en friche, jeans, frottés au mur, ahans (un homme passe avec une branche) catadioptres rouges sur les bottes comme ces prostituées du Kurfürstendam à Berlin, reflets, semelles imprimées d’un « suivez-moi » des câtins de l’antiquité grecque, pas fourmis en gros plan webcam sur images/corps (cowboys, buffles, sparadraps mains, monnaie, fil rouge, aiguille, sang, stroboscope, déshabillé, branlé, œil-monde en flamme son _Nyc backrooms, rues, zones d’entrepôts _Voix, phrases de Lydia lunch, Nan goldin, cellesceux l’ayant croisé _une fonction " ?punk, (la première chanson de 3 teens kill 4 sur myspace),,, _Matière,donne re,mixée par des compositeurs sonores (jg thirlwell, f.a.g.s….), diffusée en émission radiophonique puis disponible en ligne & sur scène _espaces sonores déclenchés par des capteurs de distance ou des touchers particuliers (cf thierry coduys), érogénéités,,, ,,, >demandes d’aide à la création sonore et radiophonique auprès de l’acsr à bruxelles, voire arte radio, atelier de création radiophonique de france culture vidéo _webcams en temps réel de trafics new yorkais http://nyctmc.org/xmanhattan.asp# _tournage (en direct ou pas) d'actes performatifs qui pourraient être mis en ligne sur youtube ou dailymotion ou, et rediffusées sur scène ou sur internet (cf site de télévision communautaire en ligne) _?Portraits depuis « xcasting (est une série d’annonces dans les toilettes) en zones urbaines inspirées des portraits de « chroniques des quais », second ouvrage de david wojnarowicz publié aux éditions désordres et,ou photos Corinne nguyen : diaporamas /portraits depuis « xcasting en zones urbaines, « safe sex research as à « comment représenter un double fist fucking, faut-il intimer à un acteur de convoquer un de ses amants ? infographie Live = en direct un infographiste/programmeur pour des interactions de textes projetés aux murs plafond sol (réinterpréter la fonction image-texte des oeuvres de dw) deux vidéoprojecteurs dont un télécommandé pour des changements de focales en fonction de la captation physique d’un acteur -le volume respiratoire notamment- (cf thierry coduys) influences : philippe péron pour son installation cravan myrtilles 1998 / jenny holzer / barbara kruger / christopher wool… aides possibles : arts numériques en belgique & dicream en france conférence/rencontres/exposition avec Laurence viallet, autres en cours de réflexion marion scemama, a été une grande amie de DW et l’a notamment pris à plusieurs reprises en photo, elle a à sa disposition de quoi présenter une exposition et des projections autour de l’artiste, qui n’a jamais été exposé en belgique Voir les contacts d’antoine pickels,, inviter laurence viallet sources manifold experiences of illness, including suffering, pain and anger–but not excluding an investment in pleasures. livres Un goût exquis : Essai de pédesthétique, Antoine Pickels, ah ! collection éthique esthétique, éditions cercle d’art, février 2006 Pour un nouvel art dégénéré, Bruce Benderson, traduction Thierry Marignac, Rivages poche / Petite Bibliothèque, collection dirigée par Lidia Breda, septembre 1998 -King Kong Théorie, Virginie Despentes Between the body and the flesh (performing sadomasochism), Lynda Hart, essai -AIDS RIOT:Collectifs d'artistes face au sida, New-York, 1987-1994, Douglas Crimp Femmes et hommes, hétéros et gays, artistes et activistes, le public se rassemble aujourd’hui autour du porno, Katrien Jacobs Chercheure en médias numériques et sexualité, par Marie Lechner, 8 juillet 2006, http://www.ecrans.fr/Femmes-et-hommes-heteros-et-gays.html -Laurence Rassel & Terre Thaemlitz: The Laurence Rassel Show (Complete), http://www.comatonse.com/soundfiles/#lrs -Performances, RoseLee Goldberg -La Performance du futurisme à nos jours, Roselee Golberg L’amérique et ses prophètes (la république perdue ?), Greil Marcus, traduction Clément Baude, éditions galaade, septembre 2007 Last Exit to Brooklyn, Hubert Selby Pimp, Iceberg Slim Mama Black Widow, Iceberg Slim Sur la route, Jack Kerouac La Famille royale, William-T Vollmann Miracle de la rose, Jean Genet Journal Du Voleur, Jean Genet Toxico, Bruce Benderson Generation X, Douglas Coupland Eden, Eden, Eden, Pierre Guyotat Index, Peter Sotos Blood and Guts in High School: A Novel, Kathy Acker Sang et stupre au lycée, Kathy Acker Paradoxia, journal d'une prédatrice, Lydia Lunch Il faut brûler pour briller, John Giorno Oeuvre croisée, William Seward Burroughs Les garçons sauvages, William-S Burroughs Mon éducation. Un livre des rêves, William Seward Burroughs Ultimes Paroles, William Seward Burroughs La cité des nuits écarlates, William Seward Burroughs Le festin nu, William Seward Burroughs William Burroughs, Claude Pelieu, Bob Kaufman, les cahiers de l'herne, P. Bernard Teleny : étude physiologique, Oscar Wilde Try, Dennis Cooper Closer, Dennis Cooper Wrong, Dennis Cooper Body Art, Don DeLillo ? England's dreaming : les Sex Pistols et le mouvement punk by Jon Savage Please Kill Me : L'histoire non censurée du punk racontée par ses acteurs by Legs McNeil Lipstick traces, Greil Marcus lectures FEVERS, as a benefit for Needle Exchange, at the Drawing Center in New York City in 1992 peu avant sa mort, http://www.actupny.org/diva/synWoj.html DAVID WOJANAROWICZ part 2, artist and rant by aids activist, 01:40, http://fr.youtube.com/watch?v=9npab9k0OTg DAVID WOJANAROWICZ part 3, activst talks about aids, 03:29, http://fr.youtube.com/watch?v=rylwhGK5FK8 DAVID WOJANAROWICZ part 4, activism by david, 00:50, http://fr.youtube.com/watch?v=nOW6ZKEbS6U The Saint: on David Wojnarowicz: Fear of Diversity, The Saint: re-William S Burroughs reads a page on "Fear of Diversity" in his book "Close to the Knife, A memoir of Disintegretion"., 04:40, http://fr.youtube.com/watch?v=WfJx4B4X36M Interview dvid wojnrowicz part 1, artitactivist speeks out, 01:22, http://fr.youtube.com/watch?v=LZwmDZ9i1QM son http://www.myspace.com/3teenskill4 American Dreamtime, David Wojnarowicz et Doug Bressler, 1984, ubuweb Fire in My Belly, David Wojnarowicz, Musique Diamanda Galas, 1987, www.semiotexte.com/authors/davidWojnarowicz.html, 04:10, http://fr.youtube.com/watch?v=0fC3sUDtR7U cinéma Where Evil Dwells, réalisé par David Wojnarowicz & Tommy Turner, basé sur l’histoire de “Satan” Ricky Kasso le tueur d’adolescents, avec Joe Coleman, Rockets Redglare, Natz, Nancy Coleman, Baby Gregor, Scott Werner..., 28 :33, 1985, http://www.ubu.com/film/wojnarowicz.html You Killed Me First, réalisé par Richard Kern, avec Elisabeth Carr aka Lung Leg, Karen Finley, David Wojnarowicz et Jessica Craig-Martin, Couleur, 12 minutes. 1985, http://www.youtube.com/watch?v=xpPgHeyC1xM Stray Dogs, réalisé par Richard Kern, avec David Wojnarowicz, Bill Rice… Musique : J.G. Thirlwell, 1985, http://www.youtube.com/watch?v=caqxHral2iY&NR=1 liens http://www.editions-desordres.com/auteurs/david_wojnarowicz.php http://en.wikipedia.org/wiki/David_Wojnarowicz http://fr.wikipedia.org/wiki/David_wojnarowicz Close Up sur David Wojnarowicz, proposé par Marion Scemama, http://74.125.39.104/search?q=cache:8DVzYEM8uj4J:www.actupparis.org/IMG/pdf/CloseUpWojnarowicz.pdf+david+wojnarowicz&hl=fr&ct=clnk&cd=11&gl=be&lr=lang_fr&client=firefox-a Une amitié particulière, Portfolio, LEMONDE.FR | 01.08.05 | 14h47 • Mis à jour le 12.04.06 | 17h30 http://www.lemonde.fr/web/imprimer_element/0,40-0@2-3246,50-673530,0.html David Wojnarowicz Un fils perdu de l’Amérique, par Magali Jauffret, Article paru le 17 avril 2004 http://www.humanite.fr/2004-04-17_Cultures_David-Wojnarowicz-Un-fils-perdu-de-l-Amerique http://www.queerculturalcenter.org/Pages/DavidW/DW_index.html http://pageperso.aol.fr/matinmagicien/Wojnarowicz1.html http://tzeroxymox.blogspot.com/2008/05/david-wojnarowicz-1954-1992.html David Wojnarowicz par Dan Cameron & Dennis Szakacs, New Museum of Contemporary Art, New York, Fever: The Art of David Wojnarowicz, from January 21 - June 20, 1999. http://www.queer-arts.org/archive/9902/wojnarowicz/wojnarowicz.html http://www.semiotexte.com/authors/davidWojnarowicz.html cvs équipe Lucille calmel, mise en scène Sylvia botella, chargée de production/diffusion Thierry coduys (capteurs) Chloé fabre (scénographie) ? Sébastien lenthéric Un belge ? Régie son infographe planning Saison 2008-2009 Recherche plateau & + A La bellone maison du spectacle 46 rue de Flandre bruxelles Dates Studio : du 6 au 13 octobre, du au février 09, + une session au printemps 09 Monstration : lundi 13 octobre 2008 19:30 - 20:30 Entrée libre – Places limitées, réservation obligatoire La Bellone accompagne cette saison trois artistes sur des projets en construction, dont des étapes sont montrées dans le Studio, lors des Monstrations. Lucille Calmel est la première à inaugurer ces rendez-vous, sur le texte Au bord du gouffre, de l’écrivain, artiste et activiste gay new-yorkais David Wojnarowicz, mort en 1992 du sida. Après avoir monté Arthur Cravan, Peter Sotos ou Vladimir Maïakovski, et exploré radicalement la performance et l’écriture (notamment à La Bellone, la saison passée), Lucille Calmel tente avec cette prose hallucinante un autre « retour de l'écriture sur elle-même, en sorte de gouffre, un bouche à bouche, m'attacher au texte de D.W., son plein, ses bords, m'attacher en bloc(s) et le lier, le lier à l'autre, semble, lui, l'interprète -stupre, -couture, -ensevelissement ; un premier studio en quelque sorte, tête à tête ; je lis D.W. et laisse se dessiner cette relation ténue entre le ciel, le sexe et le cri. » when i’m good i’m very good but when i’m bad i’m better
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Re :

Vendredi 14 Novembre 2008 16h11mn 52s
))
& notes::
Lundi six Mardi sept mercredi huit
Sl : le cowboy bleu (cf vidéo australie adélaïde) sur quicktime + captures
Lc : poulet plumé, poule vivante, marché, homme-viande, squelettes, laine rouge + aiguille, marionnettes, faux sang série b, fourmis, œuf gorgé de sang (seringue+rouge),
Sl : sol farine, gravier, litière pour chat
Une centaine de figurants scotchés noir au sol noir (clodos, macchabées,,,), sl marchant sus
Ecriture projetée
Webcams de trafic > test
Radiodiffusion aux chiottes de parking d’autoroute
Glory holes
Mains bandées, monnaie, cotations en direct
Main scotchée noir au sol noir –dos, fœtus / genou scotché au mur corps face mur texte scotché au mur -briques
Nœuds
Clope
Masques en papier (chien)
Sexualité nudité
Années 50 (marionnette pour ventriloque émissions pour enfants + son)
Murs pourri,s entrepôts, chiottes, quais, routes, rues, trottoirs, parkings
Musiques indus -noise
Sons de pornotube doux sans musique
Ordures
Seau de pisse, bouteilles, rangée
S’essuyer visage, aisselles & aine avec les textes
Laurence : dates des feuillets dans le roman ?, joe>richard kern, dakota ?
Phrases courtes à enregistrer, projeter
Paysages myopes, soleil, ciel, lunettes
Garageband voix jeune pour autoportrait en 23 (hélium par exemple à –4 fréquence) à voir mons pour capteurs tonalité
Youtube fourmis à monter sur quicktime pour projection sur le dos
Palette graphique usb par x-réseau, enlever la marque du logiciel à l’entrée + rectangle jaune
Clip antivirus au caca
Corps gaffé noir au sol noir (entièrement) env 200m
Avance joe
dégingandé
(Musique : Anthony & the johnson)

ce qui veut définitivement dire qu'un homme ne peut pas baiser une sauterelle sans lui exploser l'anus
ma bite disparaît dans le bleu

Textes
Autoportrait en vingt-trois rounds
Un deux ,,,

Temps ? (verbe) > présent ?


Faire un last-fm spécial dw avec fœtus, iggy pop, etc

&
material blog